Chappell Roan just said "can you guys not stalk me, can you just treat me like a normal person" and people are already saying "well that's what being famous is, get used to it !!!" oh Jean-Jacques we're really in it now
(It begins at 00:20)
"Je n'imaginais pas le succès parce que j'ai jamais admiré des gens pour ce qu'ils étaient, pour leur image, pour leur personnage mais pour ce qu'ils faisaient, pour leur musique. A partir du moment qu'ils m'avaient donné ce qu'ils avaient à travers un disque, j'avais tout ce qui m'intéressait chez eux. Donc, tout ce côté un peu notoriété, image, c'est des choses que je ne connaissais pas et j'ai été un peu surpris de voir l'importance que ça prenait quand ça m'est arrivé.
Je crois que c'est tout à fait vivable dans le cadre du boulot, quand on est en tournée, quand on enregistre des disques, quand c'est pas justifié mais professionnellement explicable, par contre ce qui m'effraie un peu, c'est que j'ai l'impression que c'est peut-être irréversible ça. Parce que ton image, c'est comme si elle ne t'appartenait plus, elle appartient presque aux gens. Je me demande s'il est possible de faire un retour à l'anonymat. Et je me demande si c'est facile à vivre, une fois que c'est plus justifié par ce que tu fais.
Le problème, c'est pas que les gens t'aiment ou qu'ils t'aiment plus, le problème est que, quand ils te voient, t'es quand même quelqu'un de différent. Ils ne te voient plus comme quelqu'un à découvrir, mais comme une image, comme ton image. Je sais pas comment ça se vit ça, faudra voir. A priori... C'est pas simple. Il doit y avoir des tendances à fuir le regard des autres, peut-être même à s'isoler... Je sais pas."
In english (i used an online translator) :
“I never imagined success, because I never admired people for who they were, for their image, for their persona, but for what they did, for their music. As soon as they had given me what they had through a record, I had everything that interested me about them. So the whole notoriety, image thing was something I didn't know about, and I was a bit surprised to see the importance it took on when it happened to me.
I think it's perfectly bearable in the context of work, when you're on tour, when you're making records, when it's not justified but professionally explicable. On the other hand, what scares me a little is that I have the impression that it's perhaps irreversible. Because your image, it's as if it no longer belonged to you, it almost belongs to people. I wonder if it's possible to return to anonymity. And I wonder if it's easy to live with, once it's no longer justified by what you do.
The problem isn't that people like you or don't like you anymore, the problem is that, when they see you, you're still someone different. They no longer see you as someone to be discovered, but as an image, as your image. I don't know what that feels like, but I'll have to see. On the face of it… It's not easy. There must be a tendency to run away from the gaze of others, maybe even to isolate yourself… I don't know.”
And of course, Broey Deschanel and the systemic abuse of celebrities