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#jean-jacques goldman – @girafeduvexin on Tumblr
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Pratiquante professionnelle du sapphisme

@girafeduvexin / girafeduvexin.tumblr.com

réincarnation de Barbara ; lesbienne agenre / agender lesbian (terf don't follow/interact I block on sight) ; 30 ; any pronouns ; Miriam ; white ; ADHD/TDAH ; jewish ; proustienne ; fatiguée
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Anonymous asked:

je ressors tout juste d'un spectacle de cabaret autour de chansons de jean-jacques goldman (chez madame arthur) et je me suis dit tiens ! ça plairait à girafeduvexin ça (principalement le côté jean-jacques goldman mais le reste aussi) !

!!!!! Immensément intéressée et flattée que tu penses à moi ! Ça fait des siècles que je veux aller chez Mme Arthur, ça me motive encore plus !!

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(French!Gravity Falls)

Ford : J'ai raté tant de choses entre 1982 et 2012... tout est si différent, la technologie, la musique...

Mabel : Oooooh tu écoutais quoiiiii dans les années 80 ?

Ford, sourire triste : Je n'y suis pas resté longtemps dans les années 80... Je me souviens d'un jeune chanteur prometteur... Jean... Jean-François... ah, Jean-Jacques Goldman ! J'aimais beaucoup son 1er album, je me demande ce qu'il est devenu. Je n'ai jamais eu l'opportunité de le voir sur scène malheureusement... Il est encore vivant ?

Ford : Ah Starmania, je me souviens... Balavoine et Berger font encore des concerts ?

Stan :

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(French!Gravity Falls)

Ford : J'ai raté tant de choses entre 1982 et 2012... tout est si différent, la technologie, la musique...

Mabel : Oooooh tu écoutais quoiiiii dans les années 80 ?

Ford, sourire triste : Je n'y suis pas resté longtemps dans les années 80... Je me souviens d'un jeune chanteur prometteur... Jean... Jean-François... ah, Jean-Jacques Goldman ! J'aimais beaucoup son 1er album, je me demande ce qu'il est devenu. Je n'ai jamais eu l'opportunité de le voir sur scène malheureusement... Il est encore vivant ?

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But for real, "Ton autre chemin" is THE Stan and Ford song, check out this translation.

"As far back as I can remember

Snippets of childhood, bits of a scene

Your eyes, your face and your hand in my hand

And our footsteps on the same path

Oh, we weren't very talkative

A little strange, a little apart

I loved your silences and you loved mine

Mute, we got along well

You were a little different

And I wasn't like them

A little contemptuous of all their childish games

We cried our eyes out

I received your first poems

Like a few words lulled to sleep

Our laughter was laughter and our sorrow was sorrow

Each touching the other in echo

I played you my first notes

You listened with half-closed eyes

Simple and clumsy, a little false, a little silly

But all I could hear was your bravos

As I bowed in front of the piano

We began to lose touch in our teens

I found you a little too austere

A little too serious, a little too secretive

I needed music, light and futility

And others too

Your friendship was demanding, whole and exclusive

And then you began to be absent

Often, then longer

Your mother told us you were going on vacation

She wasn't lying when I think back

A holiday of life, a holiday of envy

And then the truth

The one we suppose

The one we hide

The one we whisper

The one that disturbs

The one we evade

Your other way

Your other path

Tell me the voices, the desires that drive you

Tell me the winds and currents that carry you along

The fixed ideas and nails that rivet you

In what wanderings, motionless drifts

Tell me the dreams that knock at your door

The illusions, the devils that carry you away

To what other place, a mirage without anguish

No time lost, no second passing

What do you think of when evening comes?

What hopes do your four walls hold?

What should we read in your silly smile?

Other desires, speechless and wordless?

Show me your other way

Show me your other way

Show me your other way

Describe your other way

Tell me your signs and tell me your language

The horizons of your cage bars

Do you see white, sky blue and pink?

What do you see when your eyelids close?

And then, here I am, telling you about my life

Its level, its troubles, its desires

Its vain race and my lack of friends

To your empty eyes, your bewildered absence

Show me your other way

Show me your other way

Show me your other way

Show me your other way

As far back as I can remember

Snippets of childhood, bits of scene

Your voice, your face and your hand in my hand

And our steps on the same path

And our steps on the same path

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Anonymous asked:

as tu déjà élaboré quelque part sur autistic goldman? ça m'intéresserait de lire ça

Sans avoir élaboré, je me suis rendue compte en faisant ce post que beaucoup de ses traits me rappelait les miens, disons. Je ne suis pas autiste mais j'ai un tdah et je sais ce que c'est de se sentir décalée...

Il y a aussi ce post où je parle de son rapport au langage, ou ce post et surtout ce post.

Après, je ne sais pas s'il est quoique ce soit, je ne veux pas trop spéculer non plus mais ce qui est certain, c'est qu'en tant que personne neurodivergente, je me suis retrouvée ado dans ses chansons et sa façon d'agir en interview et c'est indéniable que l'isolement, l'impression de se sentir incompris etc, sont des thèmes qu'on retrouve beaucoup dans ses chansons surtout au début de sa carrière. Il y a notamment "Ton autre chemin" que j'interprète en ce sens, il y a aussi "A l'envers", sans doute ma chanson préférée de Goldman...

J'avais fait une playlist sur le tdah et il y avait beaucoup de chansons de lui !

Voilà, sans tomber dans le parasocial, ce qu'il est m'importe finalement peu mais avec le recul, je comprends pourquoi j'ai été autant attachée à lui ado. De nouveau, je ne le connais pas et je ne vais pas trop spéculer : tous ces posts en disent bien plus sur moi que sur lui, en réalité.

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I made a playlist of what's like to be a fan because I'm writing a novel about it.

1. American pie - Don Mclean 2. Un, deux, trois - Fredericks Goldman Jones 3. Chanson pour une fan - Michel Berger 4. Famille - Jean-Jacques Goldman 5. Le Chanteur - Clara Luciani 6. La Groupie du pianiste - Michel Berger 7. Fan - Pascal Obispo 8. Tournent les violons - Jean-Jacques Goldman 9. Je ne suis pas un héros- Daniel Balavoine 10. Bite the hand - Boygenius 11. Les adieux d'un sex-symbol - Marie Denise Pelletier, de Starmania 12. Des gens formidables - Francis Cabrel 13. Ma plus belle histoire d'amour, Barbara.

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Chappell Roan just said "can you guys not stalk me, can you just treat me like a normal person" and people are already saying "well that's what being famous is, get used to it !!!" oh Jean-Jacques we're really in it now

(It begins at 00:20)

"Je n'imaginais pas le succès parce que j'ai jamais admiré des gens pour ce qu'ils étaient, pour leur image, pour leur personnage mais pour ce qu'ils faisaient, pour leur musique. A partir du moment qu'ils m'avaient donné ce qu'ils avaient à travers un disque, j'avais tout ce qui m'intéressait chez eux. Donc, tout ce côté un peu notoriété, image, c'est des choses que je ne connaissais pas et j'ai été un peu surpris de voir l'importance que ça prenait quand ça m'est arrivé.

Je crois que c'est tout à fait vivable dans le cadre du boulot, quand on est en tournée, quand on enregistre des disques, quand c'est pas justifié mais professionnellement explicable, par contre ce qui m'effraie un peu, c'est que j'ai l'impression que c'est peut-être irréversible ça. Parce que ton image, c'est comme si elle ne t'appartenait plus, elle appartient presque aux gens. Je me demande s'il est possible de faire un retour à l'anonymat. Et je me demande si c'est facile à vivre, une fois que c'est plus justifié par ce que tu fais.

Le problème, c'est pas que les gens t'aiment ou qu'ils t'aiment plus, le problème est que, quand ils te voient, t'es quand même quelqu'un de différent. Ils ne te voient plus comme quelqu'un à découvrir, mais comme une image, comme ton image. Je sais pas comment ça se vit ça, faudra voir. A priori... C'est pas simple. Il doit y avoir des tendances à fuir le regard des autres, peut-être même à s'isoler... Je sais pas."

In english (i used an online translator) :

“I never imagined success, because I never admired people for who they were, for their image, for their persona, but for what they did, for their music. As soon as they had given me what they had through a record, I had everything that interested me about them. So the whole notoriety, image thing was something I didn't know about, and I was a bit surprised to see the importance it took on when it happened to me.

I think it's perfectly bearable in the context of work, when you're on tour, when you're making records, when it's not justified but professionally explicable. On the other hand, what scares me a little is that I have the impression that it's perhaps irreversible. Because your image, it's as if it no longer belonged to you, it almost belongs to people. I wonder if it's possible to return to anonymity. And I wonder if it's easy to live with, once it's no longer justified by what you do.

The problem isn't that people like you or don't like you anymore, the problem is that, when they see you, you're still someone different. They no longer see you as someone to be discovered, but as an image, as your image. I don't know what that feels like, but I'll have to see. On the face of it… It's not easy. There must be a tendency to run away from the gaze of others, maybe even to isolate yourself… I don't know.”

And of course, Broey Deschanel and the systemic abuse of celebrities

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