fleuromanie reblogged
Elle pleure, insensé, parce qu’elle a vécu !
Et parce qu’elle vit ! Mais ce qu’elle déplore
Surtout, ce qui la fait frémir jusqu’aux genoux,
C’est que demain, hélas ! il faudra vivre encore !
Charles Baudelaire, “Le Masque” − Les Fleurs du Mal (via artdelivre)